Saint-Jacques à la fleur de sel juste ouverte sur le feu

Aïe ! Aïe ! Aïe ! J’ai du retard dans mes publications et j’espère, fidèles lecteurs, que vous ne m’en voudrez pas.

Très occupée ces jours derniers, pas de temps libre pour cuisiner, ou en tout cas faire des recettes qui méritent d’être présentées sur le blog.

Ça faisait plusieurs semaines que je voulais publier celle d’un lecteur, alors du coup, j’en profite. Il y a quelque temps, Olivier m’avait interpellé – gentiment – sur ma page Facebook suite à ma recette d’huître à la plancha.

Il revendiquait, en tant que breton d’origine, une cuisson originale de coquilles Saint-Jacques, ouvertes directement sur le feu du gaz.

Voici son message :

En tant que trublion breton, je me dois de vous faire part de ma variante bivalve : Glanez des coquilles st Jacques de la baie de St Brieuc, Allumez le plus gros feu de votre gazinière et placez le beau coquillage sans autre préparatif à même le feu. Laissez le coquillage s’ouvrir. Déposez-y une pointe de fleur de sel et de poivre de Malabar après avoir ôté tout ce qui n’est pas noix ou corail, Dégustez sur l’instant. C’est un de mes meilleurs souvenir de retour de pêche. Les puristes n »hésiteront pas à consommer ce met avec un café pâle et fortement chicoré et/ou d’une boite de pâté Hénaff. La culture prend bien souvent des chemins différents…

Eh ! bien, voilà, j’ai essayé. Merci Olivier, vous aviez raison, c’est excellent ainsi. La Saint-Jacques n’est pas dénaturée, c’est ainsi que je l’apprécie, et j’ai même conservé le corail, car j’aime beaucoup. Bon, je n’ai pas osé goûter avec le café ou la boîte de pâté Hénaff !!

Pas de sauce qui vient lui enlever tout son goût, c’est vraiment tip top !

Alors, si comme Olivier vous avez des petits conseils, tuyaux, n’hésitez-pas.

Je me ferai une joie de les tester et publier.