Financiers aux zestes de citron

Sauvez le monde,

mangez un financier !

Prenez-en, mangez-en, faites comme chez vous. Les amandes qui entrent dans leur composition ne sont que douceur et ne vous resteront pas sur l’estomac comme les indigestes amendes aux notes salées.

Pour cette recette, point de robot car mes financiers aiment qu’on les traite avec ménagement. Donc, si vous utilisez le fouet, ce sera avec délicatesse en reconnaissance à la gourmandise qu’ils vont vous offrir lorsqu’ils sortiront du four tout dorés. Et un financier qui fait un cadeau, c’est assez rare pour le souligner.

De l’or en barre ces financiers !

INGREDIENTS pour une dizaine de financiers

• 50 g de farine
• 50 g de poudre d’amandes
• 50 g de sucre semoule
• 50 g de sucre cassonade
• 100 g de beurre
• 4 blancs d’œufs
• Les zestes d’un citron

PREPARATION

Dans un saladier, tamisez la farine, la poudre d’amandes et les deux sucres. Mélangez à la cuillère pour que le mélange s’harmonise.

Séparez les blancs d’œufs des jaunes.

Les jaunes ne vous serviront pas dans cette recette mais ne les jetez pas et profitez-en pour faire un autre gâteau.

Ajoutez les blancs d’œufs dans le mélange précédent et avec un fouet, sans battre mais simplement en mélangeant, incorporez-les à la préparation jusqu’à ce qu’elle soit homogène.

Faites fondre le beurre sur feu doux et ajoutez-le dans le saladier. Mélangez à nouveau délicatement et incorporez enfin les zestes du citron.

Couvrez d’un film transparent et laissez au réfrigérateur pendant une demi-heure.

Préchauffez le four thermostat 200°.

Versez la pâte dans vos moules à empreintes.

J’utilise des moules en silicone qui ne nécessitent pas de les beurrer auparavant. Si ce n’est pas votre cas, prenez soin de bien les beurrer avant de les remplir de pâte, sinon vous auriez du mal à démouler.

Enfournez pendant 20 minutes. Je baisse le feu dès le départ à 180°.

Démoulez et laissez refroidir avant de déguster… ou pas, car les financiers sont délicieux encore tièdes et moelleux.

Ah ! Ces financiers, on les critique, mais ce sont tout compte fait de bonnes pâtes dont on ne pourrait pas se passer.

Le chat de Geluck

C’est bien connu, les financiers mènent le monde. Et Crunch ! Crunch ! Crunch ! pour la peine ! Encore un de mangé. Même pas peur !