Fricot de berniques comme à Noirmoutier ou l’Île d’Yeu

13 Responses

  1. Jean-Paul dit :

    Bonjour,
    Il me semble qu’on les appelle plutôt communément des chapeaux chinois, vu leur forme et non des chapeaux de gendarme.
    Merci pour votre blog que je consulte plusieurs fois par semaine depuis des années.
    Un (presque) voisin périgourdin

    • mariefrance.thiery dit :

      Bonjour Jean-Paul,
      Tout d’abord un grand merci pour votre fidélité d’aussi longue date, ça me fait vraiment très plaisir, je le prends comme une belle récompense du temps que j’y passe (mais du grand plaisir que ça me procure).
      Comme je suis une grande étourdie, j’ai corrigé de suite, car vous avez bien raison, on parle de chapeau chinois et non chapeau de gendarme. Mes idées n’étaient pas très claires.
      Le Périgord n’est pas bien loin, effectivement, et j’ai eu l’occasion d’y séjourner (vers La Roque-Gageac), j’aime énormément cette région aux paysages et châteaux magnifiques et à la culture gastronomique très forte. Au plaisir de vous revoir, Bonne journée à vous,

  2. marie dit :

    Bonjour, je suis en train de travailler tout en vous écoutant à la radio.
    le meilleur coin pour les berniques c’est Belle Île! Elles y sont énormes, poussent à foison! Quels gueuletons j’ai pu faire, le séant bien posé sur un rocher, les orteils dans l’eau! Miam!
    A savoir, il y a 2 espèces de berniques, les grises, et les jaunes (on le voit bien sur votre seconde photo). À mon souvenir, les jaunes sont plus tendres et se cuisinent mieux. Les grises sont un poil plus dures et sont donc meilleures en direct! 😉
    bonne continuation!

    • mariefrance.thiery dit :

      Bonjour Marie, vous avez été rapide à commenter, c’est génial.
      Ah ! Belle Île, depuis le temps que je veux y aller. Nous allons très souvent dans le Morbihan, mais plus bas. Je prends note qu’en plus de la promenade sur l’île, il faudra aussi que je prévois une pêche aux berniques !
      Merci du passage et au plaisir de vous revoir,
      Marie-France

  3. anny dit :

    merci pour cette recette ,qui ressemble aussi à celle qu’un ouessantin m’ a donné
    je vais m’ empresser de la faire ,ma première tentative n’ ayant pas été vraiment concluante
    mes petits enfants sont là donc nous irons ensemble ramasser des berniques
    ANNY

    • mariefrance.thiery dit :

      Et tu me diras Anny si c’est moins caoutchouteux que ce que tu me disais l’autre jour. Bises 🙂

  4. anny dit :

    au final , je les ai poêlés avec un beurre d’ escargots
    pour l’ apéritif
    il n’ y a plus qu ‘a retourner à la pêche
    nos petits enfants n’ ont pas voulu y gouter mais veulent bien retourner en ramasser
    afin que je fasse ta recette
    ANNY

  5. florence dit :

    Aperçu la semaine dernière sur l étal d un poissonnier des berniques a 9€ le kilo ! Je préfère encore avoir le plaisir de les ramasser moi même et de les déguster comme chez moi en Bretagne marinées dans du Vinaigre et des rondelles d oignon crus. Ma grand mère âgée de 91 ans me disait qu elle les faisaient aussi sous la forme d un ragout. Merci pour toutes ces recettes authentiques, et ces découvertes de la Vendée.

    • mariefrance.thiery dit :

      Et encore c’est bien d’en trouver. Et d’ailleurs, c’est surprenant, car on n’en voyait jamais chez les poissonniers, et moi aussi j’en ai vu il y a quelques semaines. Mais à 9 euros le kilo, il est vrai que c’est un peu cher. Et puis le plaisir de les pêcher, de glisser son couteau sous leur chair, ça n’a pas de prix.
      Par contre, je suis intriguée par votre recette avec la marinage au vinaigre et aux rondelles d’oignons. Je crois que je vais tenter l’expérience. Merci à vous du passage, et passez quand vous voulez, vous serez la bienvenue.

  6. Bonnes idées, ces recettes pour rendre mangeable des bestioles qui ne sont plus appréciées aujourd’hui. Vous trouverez sur le site internet http://alguesberniques.blogspot.fr/
    Une étude que nous avons faite, mon épouse et moi, sur les ravages faits par les berniques sur le littoral. Il faut précisez que, du point de vue culinaire, mes berniques qu’on trouve sur les rochers nus ont besoin d’être nettoyées très soigneusement, car elles rongent le rocher. Elles sont donc sableuses et craquent sous la dent.

    • mariefrance.thiery dit :

      J’ignorais que ces petites bêtes pouvaient être cause de tant de ravage. Je veux bien me dévouer pour aller en ramasser car vraiment, je les adore dans l’assiette ! Vous avez raison, il faut bien les nettoyer, comme beaucoup de fruits de mer, pour enlever sable et toutes les impuretés en général qui s’y collent sans vergogne.
      Merci pour le lien, en tout cas, votre blog est très intéressant, il va dans mes favoris.

  7. Katell dit :

    Ah la laaa, j’adooore les berniques crues moi aussi ! Rien que d’y penser, j’en ai l’eau à la bouche !!! Je me souviens qu’étant gamine, des amis de mes parents en ramenaient de leur pêche . Ils les faisaient dégorger et ensuite mariner avec du vinaigre dans un saladier . Je crois qu’il y avait aussi des échalottes émincées . Un pur régal, mmm !!!

    • mariefrance.thiery dit :

      Tiens, une salade de berniques, voilà qui devait être bien bon Katell. Merci de venir évoquer ici ces souvenirs d’enfance emplis de gourmandise et de tendresse.

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