Les violons du marais
J’ai la guitare… qui me démange…. ainsi chantait en son temps Yves Duteil.
Je crois bien que je vais pouvoir chanter la même chose, sauf que dans mon cas c’est plutôt le crayon qui me démange. Il court, il court, il ne veut plus s’arrêter et noircit les feuilles de papier.
Mon nouveau bébé, il s’appelle Louise. Enfin Louise, c’est l’héroïne de mon nouveau roman : Les violons du marais.
Les violons du marais vendéen, l’après-guerre de 14-18, une jeune fille de 15 ans quitte à l’aube sa bourrine familiale parce qu’il lui devient difficile de cacher la future naissance de son bébé. Un bébé né du désamour, de l’inceste. Elle se réfugie en Charente, à Saint-Simon, un village gabarier. Comme de nombreux vendéens qui migrent dans cette région, depuis la crise du phylloxera, dans l’espoir de trouver du travail.
Louise donne naissance à Rose, rencontre Marius, un jeune gabarier inquiet de la fin annoncée du commerce sur la Charente. Elle se fera une amie, Juliette, se découvrira des talents cachés de cuisinière auprès des grandes familles bourgeoises du cognaçais. Elle renaîtra elle aussi à la vie, et continuera à entretenir une correspondance avec sa famille vendéenne, dans l’espoir de maintenir des liens devenus ténus depuis la naissance de Rose.
Ces violons du marais sont le premier volume d’une saga qui se poursuivra avec le deuxième tome, à paraître courant 2015.
Et en attendant je trinque à Louise avec cette cuvée de chez Philippe Orion, le Domaine de la Barbinière à Chantonnay. Une cuvée spéciale au nom prédestiné : Philippe l’avait créée pour la naissance de sa petite fille, il y a deux ans… je trinque aujourd’hui à la naissance et à la longue vie de Louise… en Vendée, en Charente…. et plus tard dans les terres canadiennes du Manitoba…
INFOS UTILES
Les violons du marais
Editions Mines de Rien à Brive
15 euros prix public
En vente chez l’éditeur, dans toutes les bonnes librairies et sur les sites internet habituels.
C’est la plus belle chose qui pouvait t’arriver Ma Marie….. Lyli et Moi allons être patientes avant de retrouver Louise…..Mais pas trop long quand même.
Nous t’embrassons.
Merci Frédérique et Lyli, vous êtes des amours… et promis, je me remets au travail 😉
Bonjour,
Le communiqué de presse et la présentation que vous faites de votre premier roman me rappellent une chanson interprétée par Gérard Berliner.
Chanson qui relate la destinée cruelle et peut-être encore plus tragique, dans les années de la Grande Guerre, d’une autre jeune fille Louise, dans un village de l’Allier où l’«on n’accordait pas d’importance à une servante sans fiancé…»
J’espère que votre roman, même avec une histoire au départ triste, est porteur d’espoir et de volonté de vivre.
Je le saurai très bientôt.
En attendant, je vous adresse mes plus vives félicitations.
Cordialement,
Jean-Michel 71
Jean-Michel, vous me rappelez là une magnifique chanson que j’avais presque oubliée, ou en tout cas pour laquelle je n’avais pas fait le rapprochement avec mon héroïne dont le destin est différent. Il est dommage que Gérard Berliner n’ait pas fait une plus grande carrière, il est resté l’homme d’une seule chanson et c’est dommage. Mais quelle chanson…
J’ai bien eu votre message et je vous envoie le roman très vite, merci pour votre fidélité.